Nos expos photos #1

The Free Spirit created the “Silence must be heard” photography exhibition. We created a collective of very talented photographers with a unique vision for each of them : Serge Ramelli, Michel Rajkovic, Elodie Vermeil, Nkorozaï, Boris Wilensky and Stéphane Rey Gorrez. Visiting our exhibition is like a travel for our soul.

Portraits, landscape, black and white, dark, mysterious and street photographies belong to that beautiful exhibition. Each of the photos are fine art,  printed in a limited edition. Our first exhibition took place in Paris in 2010 and we have 6 exhibitions in total in several galleries in the magic city of Paris.

The company, CISCO, the worldwide leader in IT networking decided to be an official sponsor of the initiative. 2 exhibitions took place in their headquarter in Paris in 2010 and 2011.

Chaque artiste de l’exposition ‘Silence Must Be Heard’ a fait don de 50% des bénéfices issus des ventes des oeuvres, aux orphelins Coeur Celeste basé à Pointe Noire au Congo. Ce lieu de vie permet d’héberger et soutenir une quarantaine d’enfants défavorisés. Inauguré en 2014, l’orphelinat a pour but de rendre le sourire aux enfants dont nous avons la charge, les soutenir moralement et le donner les moyens de suivre une formation qualifiante ou d’aller à l’école dans de bonnes conditions pour les plus jeunes. L’orphelinat fonctionne grâce aux dons des particuliers et des entreprises.

L’expo ‘Silence Must Be Heard’ a pour ambition de parcourir le monde : London, Madrid, Amsterdam, Dubai,Singapour, Miami, San Francisco…

• 2010 Exposition à l’Espace Kiron à Paris
• 2010 Exposition au siège de CISCO à Paris, France
• 2011 Exposition à Galerie de l’Europe à Paris
• 2011 Exposition au siège de CISCO à Paris, France
• 2011 Exposition au Café Rouge à Paris
• 2018 Exhibition à la Galerie Joseph à Paris

Boris Wilensky est un photographe français de 46 ans. Ses premières photos ont pour cadre le milieu du Hip-Hop au sein duquel il évolue en exécutant des portraits d’artistes tels Kool Shen, Oxmo Puccino, Kery James, IAM… Grand voyageur, il réalise au fil de ses pérégrinations de nombreux carnets photographiques. Après un séjour en Asie, la nécessité de mener une réflexion plus profonde sur le monde urbain s’impose à  lui. Eblouissement et décadence, vitesse et effondrement, Boris Wilensky a relevé ces paradoxes dans un premier ouvrage fine art intitulé HURBAN VORTEX, disponible dans les réseaux Fnac et Cultura.

La série Hurban Vortex a été exposée à la Galerie La Passerelle (Paris – avril/mai 2016), au Festival Ilsan (Séoul – octobre 2016), à l’hôtel de l’Industrie et au Bastille Design Art Center (Prix du Jury Professionnel Paris Artistes 2016) ainsi qu’à la Galerie Joseph (Paris – Octobre 2016) et au Mille Feuilles Sullivan (Ville d’Avray – Décembre 2016). Du 9 déc. 2016 au 28 mai 2017, trente tirages grand format (180×120 cm) sont exposés au Suquet des Art(iste)s (7, rue Saint Dizier) en partenariat avec la Mairie de Cannes.

Serge est né à Paris le 13 mai 1970. Depuis son plus jeune âge, il a une passion pour l’image et a passé plusieurs années à étudier l’infographie. Il a suivi une formation très intensive avec différents professionnels, principalement de grands photographes parisiens et américains tels que : Moose Peterson, Vincent Versace, Joe McNally, Rick Sammon…

Il a longtemps étudié et fait des recherches dans le domaine de la photo pour trouver des techniques à la fois photographiques et informatiques afin de retranscrire la grandeur de ces paysages urbains.

Michel Rajkovic est né en 1974 et vit près de Boston, USA.

Pendant des années la recherche d’évasion l’a amené à photographier aux quatre coins du monde. Cependant, il recherche une dimension émotionnelle que même les plus beaux paysages ne lui procurent pas. Dès lors, sa vision de la photographie évolue, il s’éloigne de la représentation classique du paysage pour élaborer un univers artistique où s’entremêlent réalité et onirisme. Par une approche minimaliste et chirurgicale, il façonne l’image et, au travers du symbolisme de ses compositions, laisse la réalité s’effacer.

C’est dans l’ambivalence que ses images puisent toute leur essence, elles nous étonnent et nous émerveillent à la fois. Il transforme le paysage dans sa représentation mais surtout dans son dessein.

De finalité, le paysage devient prétexte, et tel un chemin nous mène vers un voyage intérieur.

Né en 1973, originaire de Bourg Saint Maurice en Savoie, Stéphane Rey-Gorrez est passionné par l’image et les nouvelles technologies numériques. Il a commencé sa carrière comme graphiste indépendant et retoucheur d’images en travaillant pour différentes agences publicitaires.

Il mène parallèlement son propre parcours et s’intéresse aux diverses possibilités résultant d’une mixité entre photographie et illustration.

Abordant l’image comme une illustration ou une peinture, dans un univers fantasmatique, sa démarche personnelle nourrie d’imaginaire et de fantastique confère à ses photographies une ambiance surréaliste et une sensation d’intemporalité. Le mélange de couleurs, de contrastes et de textures donne à ses oeuvres une connotation particulière aux accents oniriques. Stéphane Rey-Gorrez nous fait découvrir un étonnant portrait de la ville. Les monuments, les rues et les jardins sont exempts de tout présence humaine. La ville prend une tournure étrange, irréelle, parfois sombre et apparaît alors dans toute sa solitude.

Né à Pointe-Noire, sur la côte du Congo-Brazzaville, Nkorozaï remarque et apprécie, enfant, la valeur de l’image.

Ce n’est pourtant que récemment, après avoir posé ses bagages en Afrique du Sud puis en Europe, qu’il goûte à la photographie et découvre son pouvoir : « attraper » et conserver cette chose si furtive qu’est la beauté du monde.

La France et ses recoins, ses gens, ses histoires, lui offre cette beauté. Ses « captures » suscitent sourire, étonnement ou mélancolie, mais appellent toujours notre regard.

Aujourd’hui, Nkorozaï court parfois après son propre style photographique, qu’il dit ne pas toujours savoir garder, tant les imprévus offerts par la vie sont riches. Il s’essaie également à d’autres disciplines, comme le montage photo.

C’est par le dessin et de vieux clichés pris en Afghanistan et en Iran par son père, qu’Elodie Vermeil est venue à la photographie, passion pour elle indissociable des voyages, qu’ils soient intérieurs ou transfrontaliers.

Très marquée par l’oeuvre minimaliste du photographe japonais Shômei Tômatsu et grande admiratrice des humanistes Cartier-Bresson, Salgado ou Depardon, elle aime le langage silencieux de la photographie et la possibilité qu’offre celle-ci de saisir des espaces hors du temps tout en allant à la rencontre de l’Autre et partant, de soi-même.

« Ma conception d’une photo idéale est celle qui s’immisce dans les interstices et les secrets du monde, montrant ce que l’on ne pense pas forcément à regarder et restituant une forme d’amour pour le sujet photographié, quel qu’il soit. »